
Impression
Ce tome est très paradoxal : on y apprend beaucoup de choses, mais on a l'impression de faire du sur-place.
On y cause beaucoup politique. Les intrigues que doit subir Rand pour commencer et continuer dans la veine du précédent tome. Comme toujours le voir jongler avec autant de lames n'est pas sans plaisir.
On a aussi un très bon apperçu de la (ou des) politique⋅s interne⋅s des Aes Sedai : on a un donc une bonne vision de ce que les sorcières font... Et pourtant tout cela patine dans l'inaction. À croire que les divisions des Aes Sedai sont plus marquées que ce que relate l'histoire et qu'en fin de compte, c'est la peur et l'immobilisme qui préside parmi les Aes Sedai à l'ancienne (côté Tour blanche ou rebelle d'ailleurs).
Dans le camps de Rand…