Pour embrayer côté SF, je poursuivrai par le grand Isaac Asimov et son cycle des Robots (qui se lie avec celui de Fondation par la même occasion). Ces récits et nouvelles plutôt simples m'ont fait grandement entrer dans l'univers de la SF.
Côté humains, seuls les penseurs (Inigo, Araminta, et Gore dans l'ordre) semblent encore en mesure de contrer Les accélérateurs (une des faction de la branche Haute) et le Rêve vivant de réaliser le pèlerinage et ses conséquences directes à savoir l'expansion du vide et la fin de cette galaxie.
Côté extra-terrestre, seuls les Raiels et peut être les Anomines semblent avoir un mot à dire.
Ce troisième tome clos donc les intrigues et tactiques mises en place lors des deux précédents romans. L'action prédomine... il ne reste plus qu'à savoir sur quel cheval miser... La technologie Raiel? Les penseurs et leur contact avec le vide ? Ou bien les Burnelli ?
Contrairement aux tomes précédents, l'alternance SF/Fantasy entre le monde dans le Vide et le monde à l’extérieur, qui donnait un plein de charme aux tomes précédents, est très restreinte. À contrario, l'action se déroule maintenant au cœur des deux univers afin de résoudre cette crise entre le Vide et le reste de la galaxie.
Ce livre est donc la conclusion de cette trilogie, et cela se sent bien. Plus ou peu de nouvelles intrigues mises en place. On déroule tout ce qui a été mis en place précédemment. Cela étant dit, cela ne veut pas dire que les rebondissements et le rythme ne sont pas là.
Au final, une petite déception dans la partie finale de ce roman, qui ne permet pas d'expliquer correctement à mon sens, le pourquoi de certaines chronologies. Un petit bémol très relatif toutefois, tant l'univers est prenant et qu'il est agréable de se faire surprendre par certains points qui restaient en suspens.
Note
17/20 : Un space-opera bien mené, une jonction SF / Fantasy (moindre), et un petit bémol sur la façon de mener la fin de cette trilogie.
La saga en elle-même, tous tomes compris, vaut un bon 19/20 : à recommander donc... C'est un bonheur pour vos pupilles.
Ce second tome dévoile en partie les cartes : les parties impliquées commencent à se dévoiler. Les affrontements (pas nécessairement sur le plan physique) commencent. Les intrigues se nouent... et s'embrouillent.
La tension monte, les enjeux aussi... et tout ce beau monde est de plus en plus impliqué. Vous l'aurez compris, la politique, les envies contraires et les psychologies de tout ce petit monde (humains et non humains) attisent les tensions pendant que les stratégies commencent à se mettre en branle... de plus en plus rapidement.
Comme dans le premier tome, on a toujours cette alternance SF/Fantasy entre le monde dans le Vide et le monde à l’extérieur, qui donne une saveur toute particulière à ce space-opéra.
La nature de ce fameux Vide se révèle au fil du récit, même si il reste beaucoup à découvrir à la fin de ce tome, ce qui ne fait qu'attiser notre envie de lire la suite pour connaître le dénouement de ces intrigues, ainsi que la raison de la présence de ce Vide.
Note
20/20 : Intrigues, un space-opera bien mené, une jonction SF / Fantasy sur fond d'enquêtes et de questionnement sur le devenir des humains... Cela est prenant, et quand on commence, on ne repose plus le livre.
J'attends la fin avec impatience.